X FERMER

NAVIGATION

LE CABINET
Qui sommes-nous ? Nos implantations L'équipe Candidature spontanée
EXPERTISE COMPTABLE
Nos compétences
  • Comptabilité
  • Contrôle fiscal
  • Fiscalité et optimisation
  • Logiciel comptable en ligne
  • AUDIT
    Nos missions
  • Audit légal
  • Audit contractuel
  • STRATÉGIE D'ENTREPRISE
    Nos savoir-faire
  • Création / Reprise d'entreprise
  • Conseil et Assistance
  • Statut du dirigeant
  • GESTION SOCIALE
    Nos stratégies
  • La paie
  • Logiciel de paie en ligne
  • Optimisation sociale
  • JURIDIQUE
    Secrétariat juridique
    ACTUALITES
    Actualités sociales 2ème trimestre 2023 Actualités sociales 3e trimestre 2023 Actualités sociales 4ème trimestre 2023 Actualités sociales janvier 2024 Congés payés et maladie (Avril 2024)

    C'est l'histoire d'un employeur à qui on reproche un licenciement « verbal »...

    (Article du 12/01/24)



    Le 5 octobre, un employeur licencie un salarié pour faute. Sauf que le salarié apprend qu'il aurait pris la décision de le licencier 4 jours avant la notification du licenciement. Pour lui, c'est donc un licenciement « verbal » qui justifie une indemnisation...

    Pour preuve, dans un échange de mails datés du 1er octobre, entre le service de la paie et celui des ressources humaines, il est fait état de la possibilité de récupérer un indu sur le solde de tout compte du salarié. Or, il n'y a lieu de parler de ce solde que lorsque le contrat de travail est rompu... La décision de licencier a donc bien été prise 4 jours avant la notification ! « Faux ! », conteste l'employeur puisque ces mails n'émanaient pas de salariés titulaires du pouvoir de licencier...

    Ce que constate et admet le juge : l'employeur n'ayant pas lui-même formellement manifesté la volonté de mettre fin au contrat de travail avant de notifier le licenciement, aucun licenciement « verbal » de sa part ne peut être ici constaté !

    La petite histoire du jour - © Copyright WebLex